Notre Patrimoine
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Dès l'époque gallo-romaine, Nogent, par sa situation, eut à assumer un rôle de place forte. Mais l'existence de l'agglomération est attestée formellement dès le début du XIe siècle dans un acte qui situe l'abbaye de Coulombs "non loin du chasteau de Nogent".
La proximité de cette grande abbaye, la présence du château sur un site défensif, la prééminence d'illustres seigneurs, contribuent à faire naître la ville dès le Moyen-âge.
Dès l'époque gallo-romaine, Nogent, par sa situation, eut à assumer un rôle de place forte. Mais l'existence de l'agglomération est attestée formellement dès le début du XIe siècle dans un acte qui situe l'abbaye de Coulombs "non loin du chasteau de Nogent".
La proximité de cette grande abbaye, la présence du château sur un site défensif, la prééminence d'illustres seigneurs, contribuent à faire naître la ville dès le Moyen-âge.
Dès l'époque gallo-romaine, Nogent, par sa situation, eut à assumer un rôle de place forte. Mais l'existence de l'agglomération est attestée formellement dès le début du XIe siècle dans un acte qui situe l'abbaye de Coulombs "non loin du chasteau de Nogent".
La proximité de cette grande abbaye, la présence du château sur un site défensif, la prééminence d'illustres seigneurs, contribuent à faire naître la ville dès le Moyen-âge.
Les marchés de Nogent-le-Roi
LES MARCHES D'AUTREFOIS
De Nos jours, le marché du samedi matin se tient sur la place du marché aux chevaux.
Mais les marchés de Nogent se sont tenus à différents endroits au cours de l’histoire.
Parmi les anciens noms de lieu ou les cartes postales, il est possible de situer les divers emplacements des marchés qui animaient jadis la ville :
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le marché aux porc et le marché au beurre se partageaient la place de l’Etoile ;
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place de la Halle au Blé a pris en 1986, le mom de Georges Lavigne.
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La place des harengs, le marché aux légumes, le marché aux pommes se trouvaient Grande Rue, maintenant rue du Général de Gaulle.
Chaque fin de semaine, bon nombre de petits paysans venaient à la ville vendre les produits frais de leur ferme : oeufs, beurre, fromages, lapins, volailles et légumes, puis ils achetaient ce qu’il ne pouvaient récolter ou confectionner eux-mêmes : bougies, vêtements, aiguilles, fils, clous et divers outils façonnés par les artisans locaux. Ils en profitaient aussi pour faire réparer un seau par le rétameur, un licol par le bourrelier etc…
Les transactions le plus importantes se terminaient généralement dans l’un des nombreux cafés d’alors.
Le marché, c’était, et c’est toujours, un peu une fête, un lieu magique où l’on vient certes s’approvisionner mais surtout un lieu convivial où on aime se rencontrer et bavarder.
Après leur âge d’or au 19ème siècle, tous ces marchés finirent par péricliter et disparurent même un jour de notre cité. Ce n’est qu’à partir de 1981 que réapparut, le samedi, le marché que l’on connaît aujourd’hui.
Extrait du Bulletin Municipal de 1991
et extrait de textes de Jean Paul DETOURNAY