Notre Patrimoine
Notre Patrimoine
Notre Patrimoine
Dès l'époque gallo-romaine, Nogent, par sa situation, eut à assumer un rôle de place forte. Mais l'existence de l'agglomération est attestée formellement dès le début du XIe siècle dans un acte qui situe l'abbaye de Coulombs "non loin du chasteau de Nogent".
La proximité de cette grande abbaye, la présence du château sur un site défensif, la prééminence d'illustres seigneurs, contribuent à faire naître la ville dès le Moyen-âge.
Dès l'époque gallo-romaine, Nogent, par sa situation, eut à assumer un rôle de place forte. Mais l'existence de l'agglomération est attestée formellement dès le début du XIe siècle dans un acte qui situe l'abbaye de Coulombs "non loin du chasteau de Nogent".
La proximité de cette grande abbaye, la présence du château sur un site défensif, la prééminence d'illustres seigneurs, contribuent à faire naître la ville dès le Moyen-âge.
Dès l'époque gallo-romaine, Nogent, par sa situation, eut à assumer un rôle de place forte. Mais l'existence de l'agglomération est attestée formellement dès le début du XIe siècle dans un acte qui situe l'abbaye de Coulombs "non loin du chasteau de Nogent".
La proximité de cette grande abbaye, la présence du château sur un site défensif, la prééminence d'illustres seigneurs, contribuent à faire naître la ville dès le Moyen-âge.
MOULIN DE L'ESPERANCE
Pleine de péripéties, la vie du moulin de l’Espérance ou du Pont du gué à Villiers-le-Morhier sur la Drouette est intéressante à plus d’un point.
Par ordonnance royale de 1829, M. Bosselet est autorisé à construire une usine à filer la laine ou à moudre le blé sur le canal de Villliers. Le propriétaire s’engage à placer une roue inférieure à 2,30 m et d’autre part promet de construire à ses frais un pont en charpente en remplacement de la passerelle existante.
En 1848, le moulin monté à l’anglaise produit, avec ses deux paires de meules des farines qui sont consommées dans les commune voisines.
Vers 1906, à une époque où les moulins cessent de vivre, celui de l’Espérance s’adapte au progrès et reçoit en 1920 une usine de traitement des vieux films cinématographiques dirigée par M. Juery, ingénieur chimiste.
En la place, en 1925, s’installe un atelier d’argenture et dorure par l’électricité.
Enfin, en 1945, M. Michel MARZIN et son fils Noël y installent leur atelier d’ébénisterie.
Extrait du livre de Jean-Paul DETOURNAY
"NOGENT-LE-ROI et son CANTON